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Ces commentaires qui font mal. On insulte, on dit des choses qui ne doivent pas etre dites. On écrit mais on oublie que des gens autres que celui qui a écrit l'article liront leurs commentaires. On ne respecte personne.

A ce genre de visiteurs je dirais peut être qu'on ne soit pas du même avis sur un sujet, que nos idées soient differentes mais cela n'empêche de se respecter mutuellement. J'ai mes propres idées et tu as les tiennes. Je ne t'oblige pas à me suivre mais ne m'oblige pas à abandonner ma voie car jamais je ne le ferai. " Dis: Voici ma voie, jappelle (à la religion)d'Allah, moi et ceux qui me suivent, nous basant sur une preuve évidente. Gloire à Allah! et je ne suis point des polythéistes ".(Coran)

Je t'invite à essayer de me comprendre et pour cela je te propose un remède éfficace qu'est la lecture. Cherches, lis et sans aucun doute tu arriveras à dénicher la vérité. Après, tu auras besoin de courage pour que tu puisses dire: Il a raison. C'est une forme d'excuse que j'accepte meme si je ne l'entends pas et je ne la vois pas.

Ma voie est claire, je la poursuivrais. Je sais qu'elle ne plait pas beaucoup de gens mais je la poursuirais quand même. Notre Prophète Mohamed (S.L.A.W.S) a connu ce genre de gens qui font tout pour empêcher que la vérité soit sue et entendue par chacun. Ils ont employé toute sorte de menace, ils ont tenté même son assassina mais en vain. Le Messager du Juste était sur la voie juste alors ils n'ont pu le corrompre. Ses pires ennemis de Qoreich vinrent un jour implorer son oncle Abou Talib afin que son neuveu (Mohamed) cesse d'attaquer leurs soi-disant dieux. En contre- partie ils le déclarent Roi. Savez qu'elle était sa réponse? " O Oncle, je jure par Allah, s'ils m'offrent le soleil d'un cÔté et la lune de l'autre pour que j'abandonne cette religion, je ne le ferai jusqu'à ce qu'elle soit la conquérante ou que je serai mort." C'est la conviction qu'il était juste. Le temps lui a donné raison. La religion qu'il prÔnait - l'Islam- a gagné.

C'est la voie que je dois suivre. Commente à ta guise, mon devoir est d'essayer de te convaicre et peut être qu'un jour si on ne sera frères nous seront amis. On ne sait jamais.